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UN MONDE PAS TRÈS ÉCOLOGIQUE

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Avant l’invention des stations météo, on faisait des suppositions sur les conditions météorologiques basées sur l’observation : « Rouge le soir, bel espoir ; rouge le matin, de la pluie en chemin ».

Apparemment cette rime sur le ciel rouge existe depuis longtemps. Vivement incité à faire un signe miraculeux pour démontrer qu’il était vraiment le Messie, Jésus lui-même a rappelé aux dirigeants de la communauté juive de leur propre connaissance du temps. « Le soir, vous dites : Il fera beau, car le ciel est rouge ; et le matin : il y aura de l’orage aujourd’hui, car le ciel est d’un rouge sombre. Vous savez discerner l’aspect du ciel, et vous ne pouvez discerner les signes des temps » (Matthieu 16.2-3). Jésus continuait à affirmer qu’ils avaient devant leurs yeux les signes démontrant qui il était, mais qu’ils ne réussissaient pas à les voir.

Qu’est-ce que Jésus dirait aujourd’hui s’il on lui posait des questions sur les signes de sa seconde venue ?

Ses disciples lui ont demandé : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24.3). Il leur a répondu avec un long discours. Beaucoup des signes qu’il a mentionnés se produisent régulièrement dans l’environnement naturel : « Il y aura des signe dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, […] car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une grande gloire » (Luc 21.25-27).

Tout comme ceux qui ont demandé à Jésus d’avoir un signe mais n’ont cependant pas compris les preuves de Dieu sur la première venue de Jésus, il serait vraiment dommage si nous aussi, nous rations les signes de la proximité de sa seconde venue. Malheureusement, certains nient que le jour où Christ reviendra est de plus en plus proche.

Permettez-moi de faire un petit détour avant de revenir au sujet de la seconde venue de Christ.

Une vision très populaire des origines voudrait que l’homme soit le produit du hasard. Le cosmologiste Stephen Hawking décrit le genre humain comme « un dépôt chimique ». Mais si notre monde et tous les êtres vivants sont simplement le résultat du hasard, alors les calamités de ce monde n’ont aucun sens ni but, tout comme les forces que l’on croit responsables de notre création.

Au contraire, la Bible nous dit que nous devrions attendre ces calamités parce que, loin d’être un présage de notre mort, elles signalent que nous sommes proches de la fin de la bataille acharnée entre Christ et Satan. Cette fin fera cesser la souffrance et la mort. En parlant du jour où le péché cessera pour toujours d’exister, la Bible promet que Dieu « essuiera toute larme de leurs yeux […] ; il n’y aura plus […] douleur, car les premières choses ont disparu » (Apocalypse 21.4).

Plus de douleur ni cri ? Ceci n’est pas un rêve ! C’est la promesse que Dieu à fait aux hommes en disant que notre souffrance ne durera pas pour toujours et qu’il a quelque chose de merveilleux pour nous. Mais d’ici là, il nous met en garde : « Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère, sachant qu’il a peu de temps » (Apocalypse 12.12). Tandis que le livre de l’Apocalypse utilise souvent un langage symbolique – la terre et la mer ont elles aussi une valeur symbolique – dans ce cas-ci le renvoi pourrait également s’appliquer littéralement à notre milieu naturel, à la terre et à la mer. Notez aussi que le ton de ce verset est de deuil !

Mais est-ce que cela signifie que le Dieu qui nous aime d’un amour immense causera ces désastres ? Bien sûr que non ! Mais n’oubliez pas que nous sommes au milieu d’une lutte épique, une grande bataille entre le Christ et Satan, et Satan ne se rendra pas sans combattre. La Bible dit que la terre deviendra comme un vieux morceau de vêtement, qui risque de se déchirer (Ésaïe 51.6). Mais nous ne savons pas si cela vient directement de Satan ou si est le résultat d’un monde qui après des siècles de complot a été déformé et faussé. Mais nous savons que juste avant la seconde venue de Jésus, nous serons témoins de catastrophes à grande échelle dans des régions du monde inattendus.

Pendant son temps sur la terre, Jésus a donné les preuves incontestables de son contrôle sur la nature. Par exemple, l’apôtre Marc affirme qu’à une occasion « s’étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer : Silence ! Tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme » (Marc 4.39). Et on documente aussi que la nature était agitée au moment de sa mort sur la croix, vu que « il y eut des ténèbres sur toute la terre » (Matthieu 27.45). Et « Jésus […] rendit l’esprit. Et voici […] la terre trembla, les roches se fendirent » (Matthieu 27.51).

Cela ne doit pas surprendre vu qu’il est le créateur de la nature (Jean 1.1) et qu’il maintient l’équilibre. Selon la Bible, des choses semblables se produiront quand Jésus reviendra pour la seconde fois, mais sur une bien plus grande échelle. Dans la description graphique de la nature du moment où Jésus reviendra sur la Terre, Apocalypse 16.18 dit : « et (il y aura) des éclairs, des voix, des coups de tonnerre, et un grand tremblement de terre, tel qu’il n’y en avait jamais eu depuis que l’homme est sur la terre ».

Un aussi « grand tremblement de terre » comme jamais dans l’histoire ? Ce tremblement devra être vraiment fort, si l’on considère les autres tremblements que le monde a connus. Le séisme de 1976 à Tangshan, en Chine, a tué quelque 250 000 personnes. Le séisme de 1556 au Shaanxi, toujours en Chine, a été encore pire : les morts ont été environ 830 000. Le séisme sous-marin qui a provoqué le tsunami du Japon en 2011 a été de 9 sur l’échelle de Richter ; et celui qui arrivera au retour de Jésus sera encore pire !

Et les éclairs et les tonnerres ? Normalement ils ne sont pas un gros problème mais quand Christ reviendra ils auront un impact global ! Le monde n’a jamais vu une tempête pareille, avec ses vents destructeurs et ses grêlons causant des ravages un peu partout dans le monde. En se préparant à la seconde venue de Jésus, la nature, l’environnement, sera exposée à des catastrophes similaires à celles qui se sont produites au moment de la mort du Christ, quand sa protection s’est retirée. En Apocalypse 7.1 l’apôtre Jean affirme que « après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre ; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu’il ne souffle point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre ».

Même maintenant, avant que le plus terrible tremblement de terre annonce le retour imminent de Christ, ces phénomènes constituent une menace constante. Selon l’Institut d’études géologiques des États-Unis, il y a environ 20 000 tremblements de terre par an, dont la plupart passent inaperçus. Un problème survient lorsque la secousse, tant qu’elle est forte, parvient à tuer des vies et dévaster les maisons et les villes.

Tandis que ceux qui croient que le genre humain existe sans sens ni fonction voient dans ces tremblements de terre seulement une autre manifestation d’une nature froide et insensible, qui un jour parviendra à détruire l’humanité, la Bible présente les tremblements de terre comme un autre signe du retour imminent de Jésus.

Quand les disciples ont demandé à Jésus quel aurait été le signe de sa seconde venue, il leur a répondu que « la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais » (Matthieu 24.21). Et même si on n’a pas encore atteint ce moment, on peut être sûr qu’il approche rapidement. Jésus mentionne aussi les signes dans le soleil, dans la lune, dans les étoiles et « l’angoisse » et « la frayeur » devant le bruit de la mer et il dit que « les puissances des cieux seront ébranlées » (Luc 21.25-26). Et ces choses ne seront que « le commencement des douleurs » (Matthieu 24.8) : en effet elles marqueront le début de la fin, non la fin en soi.

De l’Iran au Japon, du Pacifique Sud aux régions les plus reculées du nord, partout dans le monde on a eu des tremblements de terre. Et tandis qu’il y a un débat pour déterminer s’ils sont plus fréquents qu’auparavant, ce qui est certain c’est qu’à notre époque, avec des zones si peuplées, leur impact est plus grand, et davantage encore plus dès qu’ils augmentent en intensité.

Et Jésus ne nous a pas seulement prévenus des tremblements de terre. Il a aussi prévu la pénurie alimentaire quand il a dit que « il y aura […] des famines » (Matthieu 24.7). La réalité est que nous avons une augmentation des pénuries alimentaires causée par un climat imprévisible qui, à son tour, est lié aux catastrophes naturelles comme les inondations, les canicules et la sécheresse. Nous connaissons aussi un accroissement démographique rapide où de nombreuses personnes sont éloignées des régions rurales qui sont, dans une large mesure, indépendantes des zones urbaines, lesquelles demandent de plus en plus de nourriture. Et, de façon prévisible, le résultat est la famine.

Cette réalité est exacerbée par un système économique mondial qui est fondé sur l’offre et la demande. Donc avec un approvisionnement réduit, les prix des aliments augmentent : il en résulte que les riches réussissent à manger, tandis que les pauvres sont confrontés à la famine.

Même maintenant, au cours du XXIème siècle, avec toute notre technologie et les techniques agricoles avancées dont nous disposons, les hommes sont menacés de famines et de la misère et de la mort qui suivent. Bien que les causes soient souvent une combinaison compliquée entre politique et guerre, l’environnement, les pratiques agricoles arriérées, les conditions climatiques défavorables et les famines continuent à être une réalité tragique.

En racontant le même discours, Luc ajoute une autre dimension inquiétante : « Il y aura […] des pestes » (Luc 21.11).

L’espoir de toutes les générations est qu’avec nos progrès de la médicine, on sera capable d’éradiquer ces maladies. Malheureusement, jusqu’à présent on n’y est pas encore arrivé. Chaque année, notamment en Afrique, les maladies et les épidémies tuent les hommes dès qu’elles attaquent les cultures et les animaux. L’épidémie de VIH a fait des millions de morts et presque tous les ans nous sommes avertis de la menace potentielle de différentes maladies, comme par exemple la peste porcine et la grippe aviaire. Les scientifiques et les experts de bioterrorismes étaient atterrés quand un biologiste en Hollande, qui étudiait la grippe aviaire, a créé une souche contagieuse capable de tuer des centaines de personnes. Bien qu’aucune des plus récentes épidémies n’a été hautement destructrice, [1] nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve.

Toutefois, les prophéties de la Bible ont révélé beaucoup de l’avenir. Et avec notre connaissance, nous pouvons reconnaître ce dont nous avons été prévenus dès qu’il se dévoile devant nos yeux.

Heureusement, même si ces catastrophes naturelles sont tragiques, nous ne devons pas perdre l’espoir en pensant que tout dans notre monde est sans aucun sens et rien de plus que vivre dans un monde froid et indifférent. Au contraire, nous pouvons croire en un Dieu attentionné et concerné qui nous aime, « qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? » (Romains 8.32).

« Toutes choses » ? C’est le paradis, un monde tout à fait nouveau. Jusqu’à ce moment, les choses peuvent sembler bien sombres mais nous pouvons également tirer du confort grâce à ce que Jésus a dit parlant des signes des derniers jours : « Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche » (Luc 21.28).

De Clifford Goldstein

Source : http://www.signstimes.com/?p=article&a=40062824649.739

Traduit par Tiziana Calà

[1]En fonction de la source citée, la grippe espagnole du siècle dernier a tué entre 20 millions et 100 millions de personnes.

MORT DE MANUEL NORIEGA, ANCIEN DITACTEUR DÉVENU ADVENTISTE EN PRISON. 
EST-IL RAISONNABLE DE CROIRE EN UNE CRÉATION RÉCENTE EN SIX JOURS ?

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