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HOMMAGE À GEORGES THIBAUD PAR MICHEL BURNIER

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Georges s’en est allé brusquement, d’une courte mais fulgurante maladie imprévisible qui a surpris son entourage et lui-même. L’avantage de cette situation, c’est qu’elle lui a évité des soins pénibles et probablement, de longs séjours à l’hôpital, ce qu’il craignait le plus. Son départ rapide a laissé son épouse José et ses deux filles Nathalie et Cécile, de même que ses amis et son Eglise de Neuchâtel, dans la tristesse. Juste le temps de lui dire : « Tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime », Esaïe 43.4.

Georges THIBAUD (1935 -2018)

Homme de convictions, doté d’un caractère bien trempé et d’une foi solide, Georges aimait aller droit au but. En matière de croyances et de spiritualité, il savait où il allait, assumant sa foi et son espérance sans se laisser distraire ni influencer par les courants contraires, les idées extrémistes ou bizarres. Son Dieu était le Dieu de la vie, du mouvement et de l’être. Il se savait aimé, non seulement par les siens

Sa vision du monde était positive, faite de reconnaissance pour tout ce qui ici-bas était juste, beau et bon. Il aimait profiter, en famille ou entre amis, de l’environnement de sa belle ville de Peseux, de sa région de Neuchâtel, sa campagne, ses forêts, ses montagnes et surtout de son lac, qu’il aimait sillonner à la belle saison d’une rive à l’autre sur son voilier. Cet environnement était, avec son épouse et ses filles, un enchantement perpétuel.

Là, sur le lac, avec les passionnés de son club de voile, il pouvait également goûter à l’amitié. Avec ses amis, Georges vivait d’authentiques moments spirituels et de bonne humeur. Son sens de l’humour et de la relativité du temps qui passe, son optimisme, son dynamisme, sa fidélité, étaient grandement appréciés de tous. Georges était de ces personnes qu’il fait bon côtoyer. Son bon sens, sa foi et son espérance, étaient sources de réflexion et d’édification pour tous.

Désormais, Georges attend les siens qu’il a aimés, dans la Cité céleste, là où le mal, la maladie et la mort ne seront plus jamais. « A celui qui a soif, je donnerai de la source d’eau vive, gratuitement. Le vainqueur recevra cet héritage, et je serai son Dieu, et lui sera mon fils. » Apoc.21.6-7.

A Dieu Georges, à bientôt !

Michel Burnier

HOMMAGE À CÉCILE BÉAL PAR SA SOEUR ANNE-CATHERINE
MIEL DE PISSENLIT

Adventiste Magazine

La revue officielle de la Fédération des Églises Adventistes du Septième jour de la Suisse romande et du Tessin.

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